Cher
Raymond Mirande, je suis émerveillé de votre exposition.
Vous n'êtes pas seulement un bon artisan, ce qui déjà est
très noble, mais un vrai grand peintre. Depuis Rouault,
on n'a rien vu de tel vos trois Orphées, votre Ulysse, vos
crucifix, votre vase de fleurs restent inoubliables.
-Paris.
Lettre du 18 novembre 1960-
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